La Renaissance de Zendikar : Épisodes 1 et 2 résumés - Magic the Gathering

La Renaissance de Zendikar : Épisodes 1 et 2 résumés

La Renaissance de Zendikar : Épisodes 1 et 2 résumés

Poin poin poin ! Les histoires de Magic reviennent sur le site principal, et leurs traductions aussi ! Alors, comme au bon vieux temps, je vais vous en servir des résumés, en vous conseillant tout de même, si vous le désirez, d'aller lire les articles originaux

  La storyline de Magic / Renaissance de Zendikar

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le , par Drark Onogard
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Poin poin poin ! Les histoires de Magic reviennent sur le site principal, et leurs traductions aussi ! Alors, comme au bon vieux temps, je vais vous en servir des résumés, en vous conseillant tout de même, si vous le désirez, d'aller lire les articles originaux ici et ici.

Episode 1 : Au cœur du Fort céleste









Nahiri, héritière des ancêtres se tient face à l'immense Fort céleste. Les champs de lave d'Akoum s'étendent à ses pieds tandis qu'elle se sent coupable. Elle a abandonné son foyer. Elle était censée protéger Zendikar, et elle a échoué.

Le Roulis interrompt ses sombres pensées. La saillie où elle se tient se brise, et elle chute. Elle ne mourra tout de même pas ainsi ?! Non. Par sa lithomancie, elle calme le Roulis et crée une colonne plus haute encore où se tenir, pour reprendre sa réflexion silencieuse.

Nissa des branches enténébrées arrive alors, conformément à sa demande. L'elfe maladroite fait presque enrager l'antique kor, qui heureusement reste calme face à un signe de paix. Nahiri a convoqué Nissa car elle croit savoir comment soigner Zendikar, leur unique but à toutes deux. Et la solution se trouve à l'intérieur du Fort céleste.

Les deux entreprennent malicieusement de faire la course jusqu'en haut ; mais si Nahiri est en tête, la résurgence du Roulis en a décidé autrement. Nissa la sauve avec sa magie in extremis, et la kor, profondément vexée, préfère reprendre le chemin normalement, sans faire la course.







Arrivées à l'intérieur du Fort céleste, Nissa demande à sa compagne ce qu'elles cherchent ici. La lithomancienne rétorque que les kors n'étaient pas tout à fait précis dans leurs textes, mais qu'elle le trouverait bien assez tôt. La jeune elfe a une crise de confiance envers Nahiri, mais la suit à travers les dangereuses ruines où elle se dirige en écoutant la pierre. L'elfe est tourmentée des souvenirs de la Guerre des Planeswalkers : la rupture relative avec les Sentinelles, la mort de Gideon, et surtout Chandra...

Soudain, une bête surgit : un félin d'ombre du fort céleste des plus féroces manque de tuer Nahiri, à nouveau sauvée par Nissa, qui lui fait gagner assez de temps pour qu'elle puisse tuer l'énorme et dangereuse bestiole. Au moins cela veut-il dire qu'elles s'approchent.

Dans une salle caverneuse, les pierres ne répondent plus aux questions de Nahiri. Sans doute sont-elles à proximité de ce qu'elles cherchent ; la kor propose de partir au hasard, ce que refuse violemment Nissa. Elle invoque plutôt un élémental de fougère – sa seule famille – pour qu'il les guide à travers les ruines.

Lorsqu'elles remarquent un piège, la lithomancienne propose de sacrifier l'élémental pour le déclencher : autre refus catégorique de Nissa. Le géopède du fort céleste qui constituait en grande partie le piège tué, elles peuvent enfin entrer dans la salle où se tient la relique.







Couverte des murs au plafond de runes brillant d'une lumière dorée, cette salle contient en effet la clef que finit par saisir Nahiri. En usant de la magie du butin du fort céleste, elle fait taire, peut-être définitivement, le Roulis à Akoum. Mais c'est un cri d'horreur qui retient l'attention de notre animiste : l'élémental de fougère est mort. Tout ce qui était dans le Fort céleste est mort.

Elle ne peut accepter que Nahiri poursuive sa quête dans les autres Forts célestes : elle restaurerait certes le Zendikar d'autrefois, mais en tuant celui d'aujourd'hui. Lorsque l'elfe comprend que leurs deux visions du bien de Zendikar, l'une pour sa civilisation, l'autre pour sa vie seule, sont incompatibles, elle transplane.

Elle arrive sur Ravnica et s'introduit chez Jace, mage du miroir, qui l'accueille avec plus d'amitié qu'elle n'aurait cru. Cependant, lorsqu'elle tente de lui expliquer la situation, il semble ne pas l'écouter, établissant plutôt des plans de ce qu'il pourrait découvrir en analysant ces fameuses clefs. Ne pouvant passer le message qu'elle veut et obtenir de l'aide, elle transplane de retour sur Zendikar. A ce moment seulement, Jace se rend compte de sa bêtise, et se résout à aider son amie – qui, qui sait, pourrait réintégrer les Sentinelles ?







Episode 2 : Course vers le Fort céleste de Murasa



Nahiri a conscience que, sans l'aide de Nissa, elle n'aurait pas survécu seule à l'exploration du Fort céleste : quoique cela lui coûte, elle doit admettre qu'elle aura besoin d'alliés. Ces alliés, elle les trouvera à Porte des Mers, cité ravagée, et qui, même rebâtie, garde les cicatrices de la guerre contre les Eldrazis – une pointe de culpabilité de plus pour Nahiri. Entrant dans la maison du Corps Expéditionnaire de Porte des Mers, celle qui est leur mécène interpelle Kesenya, pour une mission : lui ramener le Cœur lithoforme avec son équipe regroupant les aventuriers les plus habiles de chaque race.







Face à elle se tiennent Akiri, pérégrine intrépide, Kaza, chasseuse du Roulis, Orah, hiérophante du fort céleste, et Zareth San, le retors, un ondin duquel elle se méfie d'autant plus qu'il se montre méfiant envers elle. Face au scepticisme des quatre aventuriers, elle leur fait miroiter la gloire qu'ils obtiendraient s'ils aidaient à sauver ce monde, ce que peut faire le Cœur lithoforme qu'elle cherche. Zareth rétorquant que rien ne les empêche de le chercher eux-mêmes, elle lui répond qu'elle seule a la clef.

Avant d'accepter la mission, l'ondin lui propose de jouer à un jeu de cartes, qu'il propose prétendument à chacun de leurs clients. En jeu : la vérité sur l'effet du Cœur. Le jeu est assez simple : une carte comportant un mot est tirée au hasard, et celui qui raconte une vraie histoire concernant ce mot, avec assez de talent, gagne.

Zareth tire le mot ruse et conte la fois où il a su voler un voleur de parchemins. Nahiri tire ennemi, et parle elliptiquement de sa victoire récente sur Sorin, ce père qui l'a trahie. Kaza entre dans la partie en tirant victoire et raconte une interminable histoire que Nahiri n'écoute qu'à moitié, se demandant plutôt où se situe le piège dans cet innocent jeu de cartes. Si l'ondin ne se mouvait pas sur le sol de pierre, jamais elle n'aurait remarqué son subtil déplacement de doigts vers sa poche. Elle tire sa carte, mais interrompt la partie en transformant tout le paquet en pierre, exigeant que Zareth lui rende la clef. Elle a gagné la partie.







Le soir, Zareth reste jusque tard dans la salle commune, où il ne reste finalement que Kesenya. Il lui fait part de ses soupçons, de ses inquiétudes, quant aux pouvoirs du Cœur. Auraient-ils une place dans le monde de forteresses que Nahiri veut rebâtir ? Il veut bien trouver cet objet, mais trouver un acheteur, riche et idiot, qui ne l'utilise pas. Kesenya ne promet pas de s'en charger, mais elle ne refuse pas.







Sur la route de Murasa, Zareth a harcelé Nahiri de questions sur le Cœur, ne cachant pas sa méfiance. Mais une fois arrivés, il lui demande si elle est sûre qu'il fonctionnera, ce à quoi elle répond par l'action, matérialisant une gigantesque créature qui attaque Zareth, et qu'elle stoppe au dernier instant. Ce n'est là qu'un fragment de la puissance du Cœur. Sur ce, l'équipe entame l'escalade des arbres en direction du Fort, Nahiri se contentant de modeler la pierre en un gigantesque escalier.

Jace arrive sur Zendikar, à Porte des Mers, afin de chercher Nissa. Il rencontre sur le chemin Mara, une guerrière qui l'a reconnu comme l'un des protecteurs de la cité. Son visage rongé par la corruption eldrazi, cette brave femme suscite en lui quelque pitié. Il accepte comme un honneur de la suivre jusqu'au mémorial, où elle prie pour le pardon de ses compagnons, auxquels elle a survécu.

Ensuite, ne pouvant faire dix pas sans être interrompu, il prit par une illusion l'apparence d'un vieil ondin, fouillant la mémoire d'aventuriers pour essayer d'y trouver des images de Nissa ou de Nahiri, en vain. Il comprend qu'il a cherché au mauvais endroit en entrant dans le Corps expéditionnaire de Porte des Mers, dont il demande de voir la tenancière.

Il doit acquérir la confiance de Kesenya, qui ne le connaît pas. Il tente de lui expliquer qu'il veut discuter avec Nahiri, avec qui il a déjà collaboré, pour essayer de la raisonner, mais la tenancière ne peut se permettre de violer le secret qu'elle doit à ses patrons, et ce même si elle s'inquiète aussi – il le lit en son esprit. Refusant cependant de la forcer à dire ce qu'elle ne voulait pas, il abandonne, et elle lui donne sur un papier l'adresse d'une bonne auberge. Mais en bas, il voit noté un mot : Murasa.







Arrivé sur ce continent, Jace se trouve assez mal à l'aise. Quelque chose lui rappelle les jungles d'Ixalan, qui lui déplaît. Alors qu'il entreprend d'escalader les hautes falaises, un escogriffe de l'essaim apparaît dans la forêt. N'ayant pas de temps à perdre, il se rend invisible ; ce qui ne suffit pas à dérouter la créature, qui le frappe presque. De même, l'illusion qu'il crée n'est d'aucun effet : la bête utilise l'écholocalisation, réalise-t-il un peu tard. Il réalise aussi trop tard que ce n'est pas sa tête qui la contrôle, mais les champignons dans son dos.

En bref, il manque de se faire tuer par un gros tas de pourriture. C'était sans compter sur un élémental d'harabaz, qui écrase brutalement la créature. Nissa, qui avait convoqué ce gardien vert ancien, se tient face à Jace, heureuse de le retrouver, et plus heureuse encore d'apprendre qu'il va l'aider à défendre Zendikar et ses élémentaux.

Alors c'était comment ?

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Drark Onogard
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Le Dark Mogwaï

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Si l'on fait s'entrechoquer deux pierres identiques, on peut observer qu'elles se repoussent l'une l'autre. Elles s'éloignent d'une distance proportionnelle à la force avec laquelle on les a rassemblées. De même, deux pôles magnétiques ayant une charge identique refusent obstinément de se joindre et s'il on y parvient par la force, ils se séparent aussitôt qu'on les relâche.
Il est donc logique qu'un personnage de renom tel que par exemple Jacques le Vert, ne supporte pas la présence à ses côtés d'une deuxième incarnation de sa personne ni même d'une copie de lui-même. Cela crée un conflit de réalité isomorphique ou son apparence, dont l'issue immédiate est l'élimination physique du problème, à savoir l'une des deux versions de l'infortuné Jacques. Il faut savoir que l'univers ne badine pas lorsqu'on titille la cohérence de sa réalité. Il préfère être radical plutôt que de laisser s'installer l'idée que n'importe quel petit paradoxe pourrait se pointer et poser des questions qui dérangent.

—Psylocibe Ennabar, Élucubrations métaphysiques : la règle des légendes expliquée par le théorème des pierres, pôles et Jacques

Proposé par Dark Mogwaï le 19/06/2012

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