Pour celle-ci, quoique la formulation soit pleinement compréhensible, elle n'en fait pas moins défaut. Je te la donne maintenant, afin que tu ne fasses pas la même erreur pour la suivante : « Tant qu'une carte appelée Honoratha, la trisaïeule est sur le champ de bataille, Othon, le trisaïeul gagne +2/+3 et a la vigilance. » Aussi, les manas et le liseré sont à l'envers. Cette carte est assez simple, en somme : c'est une sorte de Frères Yamakazi, un type de cartes assez récurrent. Et comme il ne s'agit que de donner plus de force/endurance et une capacité, cela n'aide pas à l'originalité. L'idée n'est pas mauvaise, et montre assez bien un couple : mais tu aurais pu chercher un peu plus loin pour l'originalité de la carte, une capacité autre qu'à mot-clef. Aussi, la carte aurait mérité un texte d'ambiance. Pour l'équilibrage, une 3/2 indestructible pour 4 ne me semble, dès le départ, pas si dégueulasse ; si on ajoute à ça qu'elle peut devenir 5/5 en jouant une carte qui sera vraisemblablement un miroir d'elle-même, la carte est peut-être trop forte – l'indestructible rend un bon nombre de gestions inutile.

Au passage, ces méta-barons me font horriblement penser aux Phyrexians ! Aucun rapport d'inspiration, je pense, mais si on les résume à des gens qui remplacent leur chair par des éléments métalliques afin d'être améliorés, la ressemblance est frappante.