A l'avance, désolé - Magic the Gathering

A l'avance, désolé

A l'avance, désolé

Bon, voici la suite de mon cycle de 5 parodies où je raille à ma manière le caractère de chaque couleur. Après la lame du plantain verte et le contre fort rouge, voici la frappe foudroyante blanche ! ...

  Carte déjantée / Ephémère/Rituel / Médiéval-fantastique

Bon, voici la suite de mon cycle de 5 parodies où je raille à ma manière le caractère de chaque couleur. Après la lame du plantain verte et le contre fort rouge, voici la frappe foudroyante blanche ! ...

  Carte déjantée / Ephémère/Rituel / Médiéval-fantastique



Funcards

le , par Drark Onogard
2187

Bon, voici la suite de mon cycle de 5 parodies où je raille à ma manière le caractère de chaque couleur. Après la lame du plantain verte et le contre fort rouge, voici la frappe foudroyante blanche !

Certes, la carte de référence quant on parle de blasts est plutôt Foudre, mais n'ayant trouvé aucune manière de détourner son nom, c'est à regret que je prends sa version moins puissante, la frappe foudroyante pour le nom, et par conséquent le coût de mana de cette funcard.

Avant toute chose, je sais qu'il arrive quelques fois au blanc d'infliger des blessures directes, mais il le fait à la condition que la cible doit être une créature attaquante ou bloqueuse, donc elle perd pour le coup un peu de son côté décalé par rapport aux autres, mais je tiens à finir ce cycle tout de même.

Bon, le texte d'ambiance découle directement de la condition pour lancer la carte... bah oui mais il faut pas m'en vouloir ! Selon ce qu'on dit, le blanc c'est l'ordre, l'égalité et l'unité, ce qui est un principe que le communisme représente. De plus, on a vu que comme le communisme, le blanc n'est pas parfait à cause de son excès d'ordre.

Ne prenez pas cette funcard au sérieux de toute manière, elle est l'oeuvre d'un hurluberlu pensant qu'on peut rire de tout, à toute heure et avec tout le monde, et même lorsque la blague ne fait rire que lui !

Alors c'était comment ?

     
Les bonnes choses sont encore meilleures quand elles sont partagées !

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L'auteur

Drark Onogard
mdo

Sacrifié depuis le 14/01/2018
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Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac de la mort je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel hivernal,
Et venant de nulle part,
Surgit un Aigle de mer

Lentement, les ailes chatoyantes déployées,
Lentement, je le vis tournoyer,
Près de moi, dans un bruissement d'ailes évanescentes,
Comme tombé du ciel changeant,
L'Oiseau vint se poser,

Il avait les yeux couleur Mox Ruby,
Et des plumes couleur de La nuit de l'Hiver,
A son front brillant de mille feu devastateur,
L'oiseau roi faucheur,
Portait un diamant du ciel,

De son bec il a touché ma joue,
Dans ma main d'honneur il a glissé son cou,
C'est alors que je l'ai reconnu,
Surgissant du passé enflammé,
Il m'était revenu,

Dis l' Oiseaux de paradis, ô dis, emmène-moi,
Retournons au pays d'autrefois,
Comme avant, dans mes rêves d'enfant de la nuit,
Pour cueillir en tremblant,
Des étoiles, des étoile chromatique,

Comme avant, dans mes rêves nostalgiques d'enfant,
Comme avant, sur un nuage hypnotique blanc,
Comme avant, allumer le soleil emprisonné,
Etre faiseur de pluie luminescente,
Et faire un Mur des merveilles,

L'aigle gardorage dans un bruissement d'ailes,
Prit son Vol pour regagner le ciel,

Quatre plume d'ange couleur de la nuit
Une larmes de rage ou peut-être un rubis
J'avais froid, il ne me restait rien
L'oiseau mécanique m'avait laissée
Seule avec mon chagrin

Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac de la mort je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel hivernal,
Et venant de nulle part,
Surgit un Aigle de mer


Un beau jour, une nuit,
Près d'un lac de la mort, endormie,
Quand soudain,
Il venait de nulle part,
Il surgit, l'Aigle de mer...

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