Panopticon (Panopticon) - Magic the Gathering

Panopticon

Panopticon

1.23
Nom :
Panopticon
Coût :

Type / sous-type : Plan : Mirrodin
Rareté :
Commune

Texte :
Quand vous vous transplanez vers Panopticon, piochez une carte.
Au début de votre étape de pioche, piochez une carte supplémentaire.

À chaque fois que vous obtenez {chaos}, piochez une carte.

Texte Oracle | Texte Imprimé | Texte VO

Indice de popularité :

Autorisations en tournois

Vintage
 
Legacy
 
Modern
 
Pionner
 
Standard
 
Commander
 
Duel Commander
 
Pauper
Liens externes
Gatherer  |  Scryfall  |  Moxfield

Le Panopticon est le repaire secret de Memnarch, le démiurge fou de Mirrodin, aménagé au centre du plan, à l'intérieur du noyau de Mirrodin. C'est de là que Memnarch, pendant les événements du bloc Mirrodin, espionne l'ensemble du plan à l'aide de divers dispositifs technico-magiques, dont les créatures-artefacts myrs (Myr alpha, Myr oméga, Matrice à myrs, etc.) et les lisseurs, et de postes d'observation de surface comme les guet des nuages, les citadelle de sombracier, etc. On voit Memnarch en train d'espionner le plan depuis le Panopticon sur l'illustration de la carte Les yeux du gardien.
Etymologiquement, "panopticon" signifie en grec ancien "d'où l'on voit tout". Le mot français "panoptique" désignait au XIXème siècle un type particulier d'architecture pour un bâtiment carcéral (où l'on enfermait des prisonniers ou des aliénés), conçu de sorte que le geôlier, placé au centre, dispose d'une vue panoramique sur l'ensemble des cellules, ce qui facilitait la surveillance.

March of the Machine Commander
21/04/2023 | 0.39 €

Planechase Planes
01/09/2009 | 2.15 €


Le Dark Mogwaï

Retrouvez le Dark Mogwaï et la communauté des Magiciens Fous sur :


Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac de la mort je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel hivernal,
Et venant de nulle part,
Surgit un Aigle de mer

Lentement, les ailes chatoyantes déployées,
Lentement, je le vis tournoyer,
Près de moi, dans un bruissement d'ailes évanescentes,
Comme tombé du ciel changeant,
L'Oiseau vint se poser,

Il avait les yeux couleur Mox Ruby,
Et des plumes couleur de La nuit de l'Hiver,
A son front brillant de mille feu devastateur,
L'oiseau roi faucheur,
Portait un diamant du ciel,

De son bec il a touché ma joue,
Dans ma main d'honneur il a glissé son cou,
C'est alors que je l'ai reconnu,
Surgissant du passé enflammé,
Il m'était revenu,

Dis l' Oiseaux de paradis, ô dis, emmène-moi,
Retournons au pays d'autrefois,
Comme avant, dans mes rêves d'enfant de la nuit,
Pour cueillir en tremblant,
Des étoiles, des étoile chromatique,

Comme avant, dans mes rêves nostalgiques d'enfant,
Comme avant, sur un nuage hypnotique blanc,
Comme avant, allumer le soleil emprisonné,
Etre faiseur de pluie luminescente,
Et faire un Mur des merveilles,

L'aigle gardorage dans un bruissement d'ailes,
Prit son Vol pour regagner le ciel,

Quatre plume d'ange couleur de la nuit
Une larmes de rage ou peut-être un rubis
J'avais froid, il ne me restait rien
L'oiseau mécanique m'avait laissée
Seule avec mon chagrin

Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac de la mort je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel hivernal,
Et venant de nulle part,
Surgit un Aigle de mer


Un beau jour, une nuit,
Près d'un lac de la mort, endormie,
Quand soudain,
Il venait de nulle part,
Il surgit, l'Aigle de mer...

Barbary Apes in Les Grands Classiques du Multivers, édition collector

Proposé par falcon_crest le 28/07/2012

Le sondage du bas d'en bas de la page
Pour se débarrasser définitivement de l'homme araignée :

Résultats (déjà 60 votes)