Aalya I et II - Magic the Gathering

Aalya I et II

Aalya I et II

Michael jeta un rapide regard derrière son épaule. Le carrosse était encore immobile, les chevaux piaffant d’impatience, les gardes rigides, statues bariolées à son service...

  Fun / Chroniques guerrières

Michael jeta un rapide regard derrière son épaule. Le carrosse était encore immobile, les chevaux piaffant d’impatience, les gardes rigides, statues bariolées à son service...

  Fun / Chroniques guerrières



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le , par Exterminateur
20644 | Louanges 3

I - Assasinat par Exterminateur

Michael jeta un rapide regard derrière son épaule. Le carrosse était encore immobile, les chevaux piaffant d’impatience, les gardes rigides, statues bariolées à son service. Les pans de sa cape battants autour de ses jambes entravaient quelque peu sa marche, mais il faisait tout pour n’en rien laisser paraître, habitué à se montrer au sommet de sa puissance et de son autorité. On lui avait inculqué depuis son plus jeune âge à donner une impression toujours au-dessus de la vérité. De savantes tresses donnaient à ses cheveux l’air d’être vivants et d’onduler en brillant, comme une aura magique autour de sa tête. Ses vêtements parsemés de joyaux brillaient de mille feux, éblouissant ceux qui osaient le regarder trop directement ; les rayons de lumière devenaient autant de preuves de ses immenses pouvoirs, et mieux valait ne pas s’opposer à lui.
Michael n’en gardait pas moins une impression tenace de danger au fond de lui, un goût dérangeant qui ne quittait jamais sa gorge ; il savait bien, lui, que tous ces pouvoirs étaient totalement inexistants. Toutes les légendes que lui prêtait le peuple depuis sa majorité récente n’étaient que racontars répandus par les services royaux dans le but d’asseoir un peu plus encore l’hégémonie du trône. Et le pire, songeait Michael, était que même ces hommes et ces femmes chargés de répandre telles balivernes à son sujet pensaient dire la stricte vérité ; ils étaient, en quelques sortes, employés à leur insu. Les magiciens de la couronne, les vrais, emmêlaient les sens de ces pauvres hères pour que, plein de la foi en leur seigneur, ils aillent fasciner les ouailles étourdies de labeur avec des histoires abracadabrantes.
Le Roi, âgé de vingt-trois ans, attendait avec angoisse que ces superstitions sur son compte soient balayées un jour par un fait divers et qu’il se retrouve écartelé sur une quelconque porte de grange. Il maudissait tous les soirs son père d’avoir ainsi régi sa vie au-delà même de sa mort, et finissait par se résigner en songeant qu’il en était ainsi de tous les monarques… Il arriva enfin au bout de l’interminable double rangée de gardes qui bornaient le chemin de son carrosse à l’entrée de son château. Le capitaine de la garnison lui fit un petit signe de la tête, signe que tout allait bien, et emprunta l’ouverture devant son monarque. Michael lui emboîta le pas, rassuré par les grands vantaux de marbre qu’il venait de passer et par la lumière éclatante des lustres, qui contrastait avec l’obscurité de la nuit tombée dehors depuis quelques heures.
Il ne fit pas de détour, se dirigeant directement vers sa chambre à coucher, ayant de toutes façons hâte de rejoindre le doux pays des rêves. Suivi d’une escouade de soldats, il enfila rapidement, d’un pas raide, le dernier couloir, ne regardant même pas les fresques murales qui étalaient leurs richesses partout autour de lui. Le plafond même était orné de peintures et de sculptures respirant la richesse et la profusion de moyens.
Le groupe s’arrêta, dans un froissement de capes, à quelques mètres de la porte blindée de l’antichambre. Un gardien de l’étiquette, nom pompeux attribué aux serviteurs un tant soit peu hauts placés, s’avança en toute hâte, tira un trousseau de clés dorées d’une de ses nombreuses poches. Il choisit rapidement une clé parmi la dizaine qui cliquetaient, l’introduit dans une fente presque invisible de la paroi, puis pressa trop rapidement pour que l’œil humain puisse en retenir la combinaison une dizaine de points différents et éloignés du mur. Dans un chuintement prolongé, celui-ci glissa pour laisser le passage à une partie de la troupe. Michael et dix soldats triés sur le volet pénétrèrent dans l’antichambre, accompagnés toujours du gardien de l’étiquette. Dans le même temps, dix soldats qui y montaient la garde en permanence en ressortirent pour aller dormir un peu. Le serviteur pressa une dalle et le mur reprit son emplacement initial, les plongeant dans une obscurité vite rompue par une sphère magique qui venait de s’allumer.
Le gardien de l’étiquette répéta des opérations vaguement semblables à celles qu’il avait fait sur l’autre mur, et une nouvelle paroi coulissa, révélant la chambre royale, d’une opulence sybaritique. La splendeur et la richesse suintaient de tous les objets, mais Michael y posait des regards indifférents. Il était seulement soulagé de bientôt pouvoir dormir. Il s’approcha à grands pas de son lit, suivi de deux gardes et du gardien. Les deux gardes se rangèrent chacun d’un côté du lit à baldaquin, et le serviteur aida son maître à se mettre en tenue de nuit. Michael, pressé, grognait et lançaient des regards hargneux au pauvre serviteur. Enfin il s’installa dans on lit, s’allongea, et ferma les yeux. L’intensité de la lumière diminua, et le monarque s’endormit.

Il ouvrit brusquement les yeux. Des frissons lui parcoururent le corps quand il sentit une main le parcourir, le caressant doucement sur le ventre. A quelques centimètres de son visage se trouvait un œil dont le regard uni oculaire noir avait une intensité telle qu’il essaya de détourner la tête, sans y parvenir. Il réussit seulement à regarder le reste de ce visage offert à lui, ce qui se résumait finalement à peu : un col serré remontait jusqu’au nez, dissimulant tout le bas du visage, et une sorte de chapeau tricorne cachait le deuxième œil. Une cascade de cheveux noirs de jais encadrait le tout, tombant sur le cou et le crâne de Michael. Ce dernier frissonna encore lorsque la main gelée de son mystérieux visiteur remonta vers son torse. Elle s’attarda quelques secondes dans les poils embroussaillés, puis gagna la base de la tête, pour finalement agripper le visage, le pouce sous le menton et les autres doigts dans les cheveux, sous l’oreille.
Michael ne pouvait absolument pas bouger. Par un sortilège étrange, d’autant plus étrange que cette pièce empêchait qu’on y lance le moindre sort ou qu’on s’y téléporte, il se trouvait complètement paralysé, aussi désarmé qu’un nouveau-né, avec au-dessus de lui un étranger dont seuls le carré de peau apparent et le blanc de l’iris tranchaient du reste, noir comme la nuit.
L’inconnu approcha la tête de son oreille, y colla sa bouche et murmura, faiblement, quelques mots, qui firent frémir Michael. Puis, en laissant sa main sur le visage de sa victime, il se recula à peine, releva son tricorne, et planta son regard dans celui de sa victime, les deux yeux découverts. Le monarque tressaillit à nouveau, puis sentit une pointe d’une finesse extrême s’enfoncer dans sa nuque. Sa vision s’obscurcit rapidement, un froid intense se saisit de lui, et son dernier souffle lui prit la vie.

Le lendemain, à l’heure habituelle, la solide porte s’ouvrit magistralement. Les deux gardes de faction et le gardien de l’étiquette révisèrent leur garde-à-vous, puis tout le monde s’immobilisa, attendant patiemment que le roi veuille bien se lever et s’habiller. Les deux gardes sortirent de la pièce, remplacés par des soldats plus frais. Ils marchèrent le long du couloir vers leurs quartiers, puis soudain l’un des deux obliqua vers la sortie. Le deuxième l’interpella :
« Hé ! Tu viens pas te reposer ? »
Son interlocuteur ne se retournant pas et continuant sa marche, le garde choisit d’aller dormir.

Un chat découvrit quelques heures plus tard une armure royale entassée dans une ruelle, près d’un corps déchiqueté.



II - Soirée dansante par Dragoneye


La soirée battait son plein, l’orchestre de chambre du jeune seigneur jouait comme jamais il ne l’avait fait, soirée spéciale et étrange qu’était celle-ci où le seigneur des dix-huit terres enterrait son cousin le monarque Michael le jeune, qui de par sa mort offrait à son plus proche parent, en l’occurrence l’actuel seigneur des dix-huit terres, l’occasion d’en ajouter trois à sa longue collection.

La cour dansait sous les yeux verts du seigneur qui trônait sur son imposant fauteuil orné d’or entouré de son conseiller et de sa mère.
Le conseiller se pencha près de son souverain.

« Seigneur, je ne saurais trop dire si cette fête ne risque pas de provoquer quelques ressentiments auprès de son ancien peuple à votre égard, comprenez que certains voient ici la preuve que vous êtes heureux de la mort de votre parent ce qui n’entre pas dans les bonnes moeurs des paysans de feu votre cousin. »

Une jeune femme approcha du groupe royal tenant dans sa main une coupe emplie de fruit, le roi lui fit signe de venir et y prit le vert d’une pomme avant de répondre à son conseiller.

« Voyez vous, votre problème mon cher c’est que vous n’avez pas l’esprit de fête. La totalité du royaume sait pertinemment que la seule chose que mon cousin fit de bien dans sa vie fut de mourir. Demain un groupe de mes émissaires arriveront dans le château de feu cet idiot et en profiteront pour répandre un nombre considérable de rumeurs et racontars sur de soi-disant mauvaises affaires dans lesquelles mon cousin aurait traîné. D’ici quelques jours ses paysans se mettront à trouver normale la façon dont j’accueille la mort de ce cher cousin. »

Il croqua à pleine dents dans le vert qu’il tenait dans la main, le jus du fruit était sucré, presque parfait comme tout ce qui arrivait à la cour.

La mère du seigneur se pencha vers lui.

« Mon fils je suis lasse de tous ces cabotins, je sais que vous ne pouvez pas vous en débarrasser ne serait-ce que pour l’aide que chacun d’eux apporte au royaume mais je vous prie de ne pas m’en vouloir si je prend congé de toutes ces futilités. »

Le fils se pencha vers sa mère.

« Bien entendu ma mère je ne vous ne tiendrai pas rigueur, montez vous reposer vous m’êtes encore bien trop précieuse pour que je vous laisse vous tuer de mélancolie devant ce que votre âge ne vous permet plus. »

La mère embrassa son fils avant de sortir de la salle en glissant parmis les danseurs. Le roi en profita pour finir son discours envers son conseiller.

« Quant à vous mon cher je vous conseille de faire de même si vous n’êtes plus capable de vous amuser. Moi je pense que je vais danser aussi. »

Le conseiller attrapa la manche de son seigneur qui venait de se lever pour rejoindre les danseurs barons et nobles.

« Voyons seigneur ! Votre cousin a été assassiné et vous voudriez vous mêler à la foule ? Seriez vous fou ? »

Le roi dégagea sa manche.

« Mon cher je suis le seul est unique héritier restant du royaume, après ce terrible incident et cette dernière guerre qui coûtât la vie à mon oncle et à mon père les seuls survivants de la couronne sont moi-même et ma mère. N’ayant pas d’enfants bâtards ou officiels ma mort n’apporterait que le chaos que tout le monde, nobles et paysans, redoutent. Voyez vous je n’ai guère de soucis à me faire. »

Le conseiller ne semblait pour autant pas plus convaincu.

« Seigneur vous auriez oublié que nombreux sont les ennemis du royaume qui aimeraient voir le chaos s’installer, cette secte qui surveille nos frontières n’attend qu’une occasion pour nous attaquer, imaginez qu’un d’entre eux soit ici. »

Le roi ne se laissait pour autant pas avoir.

« La magie ne peut être pratiquée dans ce château, de plus seuls quelques nobles et barons que nous connaissons sont conviés ici même, avec les servantes de ma mère bien entendu, voyez-vous aucun de nos adversaires ne pourrait me tuer ce soir. »

Le conseiller sembla acquiescer les choix du seigneur devant de tels arguments, il se leva et dit avant de partir.

« Si mon seigneur n’a plus besoin de moi je prendrai donc congé »

Il tira la révérence de coutume avant de s’en aller.

Le seigneur commença à descendre les marches qui plaçaient le trône en hauteur par rapport au reste de la grande salle, les danseurs s’arrêtèrent ainsi que l’orchestre, attendant sûrement un signe de la part du monarque des vingt-et-une terres humaine, et l’unique descendant en dehors de sa mère de la ligné des roi humains.

Le seigneur fit signe de continuer et les nobles et l’orchestre reprirent, plusieurs courtisans tentèrent de s’approcher de leur roi mais ce dernier leurs fit rapidement comprendre qu’il n’était pas disposé pour parler politique. Il chercha dans la vaste foule une femme qui aurait l’honneur d’être sa cavalière, toutes : baronnes, châtelaines et j’en passe lui seraient tombées dans les mains sans le moindre mot, mais le roi était jeune et aimait choquer les bonne moeurs, de loin il vit la fille avec le plateau d’or à qui il avait pris la pomme, fille de paysans sans aucun doute à la botte d’une des nobles familles présentes, ou de la noble mère après tous il n’en avait aucune idée, mais voilà qui était parfait.

Il s’approcha lentement d’elle, la jeune fille avait une allure des plus convenable, un portrait quasi parfait, sa peau d’une blancheur pâle contrastait avec force avec le noir ébène de sa chevelure et de son oeil, la jeune femme en avait un bleu et un noir. Parmi les nobles beaucoup voyaient en cela la marque du diable, le seigneur lui y voyait la marque d’une grande beauté.

Une fois devant elle le seigneur lui tendit la main, la jeune devait avoir le même âge que son roi, approchant au grand mot les vingt trois ans.

« Me feriez vous l’honneur d’une danse ? »

L’assemblée toute entière se tue, les courtisants qui avaient suivi le roi des yeux jusque là étaient en grande partie bouche bée, certains nobles s’étranglaient presque, ne prenant guère la peine de cacher leur réaction face à ce qu’ils pensaient être un affront à la royauté. Le roi savait cela et il se sentait libre de pouvoir montrer qu’en temps que roi il pouvait choisir qui il voulait, même si cette personne n’était pas de noble lignage.

La jeune fille avait lâché son plateau sous le choc, elle se pencha pour le ramasser mais le roi la prit de vitesse (ce qui eu pour effet de rendre blanc les quelques nobles qui était resté calme), prise au dépourvu elle ne savait pas quoi répondre et se contenta de prendre la main que lui tendait son roi.

Le roi se retourna vers l’assemblée.

« Et bien mes amis ? Aurais-je raté quelque chose ou quelqu’un viendrait de mourir pour que vous montriez tous une mine aussi abattue ? Dansez mes amis voyons le roi invite et le roi ne voudrait pas être mauvais hôte. Orchestre il ne me semble pas vous avoir dit d’arrêter. »

Les quelques musiciens pris de court se remirent à jouer, avec un plus de conviction pourtant, le roi avait veillé à ce que chaque membre de son orchestre ne vienne pas de noble lignage et ne puisse qu’approuver ses faits et gestes. Même si cela n’était guère le cas de tous les courtisans.
Les danseurs reprirent et quelques nobles avec, certains courtisans, sûrement outragés par la conduite du roi, se tournèrent vers les restes du buffet. D’autres, pour la plupart issus de jeune famille de petite noblesse lui affichèrent quelques sourires.

Le roi prit l’autre main de la jeune fille et mena la danse, puis une autre, et encore une autre ; la musique tournait maintenant sur de calmes mélodies que l’orchestre visiblement offrait en cadeau pour le culot dont leur seigneur avait fait preuve. Au bout de la cinquième danse le roi mena la danse de façon à glisser discrètement vers le balcon et à la sixième il se glissa au dehors de la salle avec la jeune fille sans qu’aucun des courtisans (soit qu’ils regardaient ailleurs indignés soit qu’ils voulaient laisser le roi en paix) ne le remarque.

La chevelure de la jeune fille se fondait avec grâce dans l’obscurité du ciel nocturne, la blancheur de sa peau s’imprégnait de la couleur du ciel. En fait, seul son oeil d’un bleu pur contrastait encore avec le reste du décor.

Elle s’approcha du rebord du balcon et s’y fixa, le roi la rejoignit, attendit quelques temps, puis finalement prit la parole.

« Vous aurait-on coupé la langue à la naissance ma chère ? Voilà cinq danses que je vous offre et je n’ai pas eu pour autant le privilège d’entendre votre voix. »

La jeune fille lui répondit sans oser le regarder dans les yeux, sa voix était d’une pureté qui n’avait d’égale que celle de son oeil noir, un noir qui rendait fade le plus sombre ébène du soir.

« En fait seigneur, ce qui m’étonne c’est que pour beaucoup votre vie est menacé et pourtant vous vous mêlez sans crainte avec vos sujets. »

Le roi prit le visage de la jeune fille dans ses mains pour faire rencontrer leurs regards.

« Voyons ma chère, me tuer voudrait dire plonger les vingt et une terres des hommes de l’Ouest dans le chaos, ce qui ne serait guère malin étant donné le nombre de troupes ennemies aux portes du royaume. Vous avez sûrement entendu parlez de cette secte grandissante par exemple. Jusqu’à présent ce n’est que grâce à l’union des terres que certains d’entre eux ne foncent pas sur nos villages pour en prendre le contrôle. »

La jeune fille le fixait maintenant, le roi lâcha sa main de son visage.

« Que savez vous de cette secte mon seigneur ? Vous pensez peut-être que le seul danger vient d’eux mais ils ne veulent pas tous votre mort, certains seraient même plutôt enclins à discuter avec vous.
Pourquoi croyez vous que se sont eux qui ont assassiné votre cousin ?»

Le roi eut un petit rire.

« Si je meurt le royaume entier sera submergé par les attaques de ces chacals. Vous n’êtes pas sans savoir que les dernières guerres n’ont laissé comme héritiers de la couronne que moi et mon cousin, maintenant mon cousin mort je ne risque plus d’être assassiné par un membre de la famille qui voudrait mon pouvoir. »

Une lueur malsaine se propagea dans les yeux de la jeune fille.

« En êtes vous bien sûr ? »

Le roi baissa son regard juste à temps pour voir la lame noire se planter dans son corps, le sang s’échappa avec une vitesse incroyable. La lame était ensorcelée et la jeune fille prenait plaisir à tourner et retourner la mort du roi dans son torse.
Alors que le dernier des rois humains s’éteignait son bourreau approcha ses lèvres de son oreille, et avec le dernier souffle de sa victime lui offrit une dernière révélation.

« C’est beau l’amour d’une mère .... »

Le corps du défunt monarque tomba sur le sol de pierre du balcon, la lame ensanglantée qui lui avait arraché la vie plantée jusqu’au plus profond de son torse.



Alors c'était comment ?

3 Louange(s) chantée(s) en coeur


angodark Le 04/11/2007

Les cartes sont vachement bien faite, surtout les dessins. Mon préferer dessin est "Meurtre en huit-clos", le texte ne m'a pas trop interressé mais je le repete bravo pour les cartes je te met 8 sur 10^pour elles.

Note : 8/10

Blacktiger Le 03/04/2006

Ouai, c'est sympa mais bon le titre c'est Assassinat et c'est le moment le moins précis de l'histoire.
Sinon, il y a de l'imagination et sa fait plaisir de lire des textes comme ça!

Note : 7/10

Toto Le 02/02/2006

Je trouve ça très bien comme début d'histoire mais à peine assez long.

allez 9/10

j'attend la suite!!!

je met ça car sinon mon commentaire est pas assez long

Note : 9/10

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L'auteur

Exterminateur
mdo

Ombre Purificatrice | France
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Le pouvoir n'est pas ce que vous possédez mais ce que votre adversaire s'imagine que vous possédez.

—Bernard Werber, la SMF pour les Nuls, édition de poche

Proposé par Dark Mogwaï le 19/06/2012

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